La disparition
Je trouve ce texte de Perec vraiment complexe. C’est comme du William Shakespeare ; très difficile à étiqueter mais c’est quant même intéressant comme lipogramme. Anton est monotone, le stress de la vie en même temps que la solitude lui donne un air déprimé et malheureux. Comme toute personne avec insomnie il cherche à s’occuper pour faire passer du temps et espérer s’endormir. Mais en même temps tout ce qui bouge l’apeure. Il se sent malade et est anxieux comme si la mort frappée a sa porte.

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