Le texte décrit de manière explicite la situation des femmes prolétaires à cette époque dont leur mauvais sort était seulement dû au fait qu’elles étaient issues de familles pauvres. La mixité sociale était quasi impossible due au fait que les femmes devaient porter une dot assez considérable pour pouvoir se marier à des hommes de la classe bourgeoise.
On retrouve également dans ce texte les valeurs des vrais sentiments; l’amour d’un mari prêt à tout sacrifice pour le bonheur de sa femme; l’honneur d’un mari et d’une femme prêts à affronter les pires souffrances pour éviter un honneur gâché. Toutes ces souffrances endurées pour rembourser un bien emprunté, un bien perdu. Le comble de l’histoire, comme si le destin leur réservait un dernier tour, la rencontre avec le bourreau de leur sort juste après le paiement de leurs dettes. Quoi, ne pouvaient-ils pas savoir que le bijou prêté par leur amie était une toque, de la pacotille? Le destin leur laisse un autre poids sur la conscience, les regrets de 10 ans de souffrance pour une parure qui n’avait de valeur que dans le paraître.