Après avoir lu la lettre de Antonio Negri, je me rappelais de la transition de la Tunisie vers la démocratie qui a été causée par le chomage de Sidi Bouzid (un jeune etudiant tunisien qui n’avait pas de boulot après ses études et il vendait des fruits et legumes, il s’etait fait confisquer sa marchandise par la police municipale parce qu’il n’avait pas les autorisations nécessaires et finalement s etait mis à immoler et finir par mourir). Des Jeunes ont reagis contre cette mauvaise action. C’ est le debut de la révolution. En Tunisie, il n’y avait pas de democratie de sorte que les gens n’ avions pas le droit de dire non à tout ce qui ce passait dans le pays. Celui qui parlait, serait emprisonnes par la police. Il n’y avait pas de liberté d’ expression. quand le gouvernement disait oui c’etait oui. un point, rien à ajouter. Mais je pense que le camarade d’ Antonio Negri n’ avait jamais mentioné ces problèmes à ses amis de sorte que son Antonio lui disait que c’ etait trop tard a ce moment. En tout cas, ce problème commençait en tunisie avait pris l’ampleur dans tout le monde arabique includis l’ Egypte. Le changement vers une revolution democratique est certes bon mais le problème est que la perte humaine est tres lourde.
Ma response sur “Lettre à un ami Tunisien”
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