De l’envie de madame Loisel est né son malheur. Elle n’est pas satisfaite de ce qu’elle a mais plutôt elle veut tout ce que son budget ne peut pas soutenir. De son orgueil est éveillé l’absurde. Au départ si elle avait été sincère avec son amie, elle aurait sans doute évité cette fin ironique et tragique. Elle a passé plusieurs années de privation et de renoncement. À cause d’une pacotille, elle a vidé tout son compte bancaire et celui de son mari. Le destin de la pauvre Mathilde, coupable seulement d’un peu de futilité, m’a vraiment attristé. Juste une soirée et sa vie a prise une tournure quelle a crée à cause de son égoïsme et de son infortune. J’ai bien aimé ce conte où l’on voit le rôle du destin sur la vie des hommes. Il y a un proverbe qui dit que “contentement passe richesse” et Maupassant voulait affirmer cet avis. Le bonheur et la satisfaction morale ont plus de valeur que la fortune. Pour connaître le véritable bonheur, il faut se détacher des biens matériels.