French 4011, Spring 2013

Cette lettre est compliqué et éclairer. Il souligne diverses possibilités  et moyens de réaliser un plus fonctionnel, moins corrompus gouvernement/socièté en Tunisie.

Je pense qu’il faut que soit une révolution physique et peut-être violent pour enlever le régime au pouvoir parce qu’ils ne jamais laisser en paix et tranquillement. Idéalement, après un bien planifié, bien pensé révolution est mise en oeuvre par une groupe de individuels jeunes, intelligents, et capables, ce serait un nouveau départ pour cette maintenant Troisiemme Monde et rétrograde pays. La Tunisie aurrait  un gouvernement  démocratique permettant la liberté d’expression, banques publiques, une branche de relations publiques, un bon système de santé, et en general, un plus élevé qualité de vie pour les Tunisiens.

Si j etais Gérard Depardieu, je vois bien que cette action de taxer 75 pour cent est assez anormal de sorte que j ai peur de reagir comme lui en quittant et aller vivre quelque autre part du monde où je poudrais être traité d’ une manière juste et normale.  Ce que Gerard avait decidé je le vois honnétement normal en posant la question suivante  moi même. Comment puis- je travailler et donner les 75 pour cent et rentre avec juste les 25 pour cent?  Je pense si nous tous nous posons la questions à nous même, nous terminons a repondre par non en tent que citoyen.  Si on a faveur au gouvernement on dira oui, c’ est normal quand on n’ a pas de revenu qui depasse un million d’ euro. C’est la reaction humaine.

Le cas de Gérard Depardieu est difficile de juger parce que, comme un individuel, je peux comprendre sa décision de quitter la France a fin d’échapper au paiement des impôts très élevés, seulement pour les riches, sur sa fortune.

Malgré le fait que Depardieu a gagné une bonne parti de sa fortune a travers les salles de cinéma que le gouvernement subventionné souvent, nous ne pouvons pas négliger le fait qu’il a travaillé dure, investi et dépensé beaucoup, pour produire ses 141 films et ses immobiliers. Alors, je trouve que c’est injuste de le taxer a 75% de sa fortune. Je trouve aussi qu’il a le droit de se réjouir des fruits des efforts de son travail.

La lettre écrite par Negri peut être considérée un trésor. La force de la réalité de ce document a profondément capture mon attention. Il est difficile d’imaginer que la Tunisie a encore les problèmes des siècles derniers aux temps modernes. Chaque paragraphe était puissant et militait changements cruciaux qui devraient arriver à la nation.

Toute la lettre était très émouvante. Une de mes passages préférées est « La culture de l’impuissance a été durement dans le de Tunis » Je trouve ces mots très libérateurs et inspirateurs, parfaits pour diriger le peuple de la Tunisie vers une révolution qui établerait une démocratie constitutionnelle qui stabiliserait le pays en apportant des solutions adéquates aux problèmes sociaux, économiques, financières, de communication et politiques.

Cette lettre est addressée par un Professeur à un de ses anciens étudiants tunisien, juste dix jours après la chute du président dictateur, Zine El Abidine Ben Ali.
Cet étudiant est vu comme un ami parce que les jours de la fac sont révolus.
Le professeur donne sont avis et ses impressions sur la façon de bouger de l’avant et éviter une stangnation politico-sociale, avec pour but ultime l’amélioration de la condition de vie des tunisien et le dévelopement de leur pays qui le mérite amplement.

http://www.theatlantic.com/international/archive/2013/03/the-mellow-sounds-and-romantic-mood-of-the-french-subjunctive/274021/

Après avoir lu la lettre de Antonio Negri, je me rappelais de la transition de la Tunisie vers la démocratie qui a été causée par le chomage de Sidi Bouzid (un jeune etudiant tunisien qui n’avait pas de boulot après ses études et il vendait des fruits et legumes, il  s’etait fait confisquer sa marchandise par la police municipale parce qu’il n’avait pas les autorisations nécessaires et finalement s etait mis à immoler et finir par mourir). Des Jeunes ont reagis contre cette mauvaise action. C’ est le debut de la révolution.  En Tunisie, il n’y avait pas de democratie de sorte que les gens n’ avions pas le droit de dire non à tout ce qui ce passait dans le pays. Celui qui parlait, serait emprisonnes par la police. Il n’y avait pas de liberté d’ expression.  quand le gouvernement disait oui c’etait oui. un point, rien à ajouter.  Mais je pense que le camarade d’ Antonio Negri n’ avait jamais mentioné ces problèmes à ses amis de sorte que son Antonio lui disait que c’ etait trop tard a ce moment.  En tout cas, ce problème commençait en tunisie avait pris l’ampleur dans tout le monde arabique includis  l’ Egypte.  Le changement vers une revolution democratique est certes bon mais le problème est que la perte humaine est tres lourde.

La lettre à Antonio Negri prouve que La Tunisie face à une situation politique très complexe. Il n’y a pas de la stabilité dans le pays. Je suis d’accord que pour un régime démocratique, il faut ajouter  les « agences » du gouvernement démocratique, comme le secteur « médiatique », et la « finance ». Autrement, il est impossible d’imaginer un régime démocratique qui ne peut pas protéger la liberté et respecter la vérité et l’opinion publique.

La lettre d’Antoni Negri est une des plus merveilleuses. A travers celle-ci, Il a su démontrer et même expliquer l’histoire socio-politico-économique de la Tunisie. Il arrive d’abord à nous faire une analyse de la société qui existait il y a de cela 20 ans pour ensuite venir avec des idées qui déboucheraient sur une nouvelle société tunisienne beaucoup plus progressive. Pour ce qui a trait à la nouvelle Tunisie, les idées d’Antoni sont claires et bien stipulées. Il a non seulement propose les grandes lignes de sa vision mais encore expliquer l’importance et la grande valeur des ces lignes. Souhaitons que les autorités en question aient partagé ces idées et puissent les mettre en application. Ainsi, la Tunisie pourra connaitre les rails du développement

Il y a 20 ans, Toni Negri et son ami ne se doutait pas  d’une telle “globalisation ” du monde: le néo-libéralisme a mis fin au “système salarial classique” et mis au chômage de plus en plus de gens. La dictature maffieuse en Tunisie a tout privatisé, elle a appauvri et réprimé la société: les occidentaux n’ont rien dit, soi-disant de peur de la menace islamique!
Soudain, soulèvement populaire  dans les rues via internet et portable! Le despote (le dictateur) est chassé. Alors Toni Negri suggère à son ami de repenser le pouvoir pour que la Tunisie  devienne vraiment une démocratie. Premièrement pour épurer les anciens pouvoirs et que dorénavant les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire” soient sous un contrôle permanent, ainsi que les banques et la finance. Seulement l’internet, qui a aidé au soulèvement populaire, reste un outil démocratique.

Dans le monde global, la Finance gouverne les états. Il faudra donc transformer les banques en un service public pour contrecarrer l’emprise de la  finance; ce ne sera pas facile car les puissants seront contre les nationalisations. Il faudra ” garantir le welfare de la population tunisienne contre la précarité en établissant un revenu garanti, instaure l’éducation et l’assistance médicale à chaque citoyen”.
Et comme la jeunesse est devenu la vrai classe ouvrière, avec ses connaissances cognitives, elle doit rester à l’écoute pour qu’on ne lui vole pas sa révolution et qu’elle donne des fruits, c’est adire s’assurer que celui qui va gouverner ne soit pas “achetable” par le pouvoir global, les occidentaux!
En conclusion Toni Negri estime que les commentateurs européens et américains ne prédisent rien de bon pour la Tunisie; alors Toni Negri exhorte son ami pour que tout son peuple tende vers une nouvelle constitution, un nouveau processus constituant, à de nouveaux  instruments pour la puissance démocratique du citoyen.

Khadidja